Контроль чтения. 1 полугодие.10 класс.
B2 Прочитайте тексты из газет и установите соответствие между тематическими рубриками A – F и текстами 1 – 5. Каждая тематическая рубрика соответствует только одному тексту, при этом одна из них лишняя. Занесите свои ответы в таблицу.
A. Culture B. Faits divers C. Petites annonces D. Finances E. Sports F. Météo | 1. Holly et Jessica: nouvelle piste. Après douze jours de recherche de Holly et de Jessica, les deux fillettes de 10 ans disparues à Soham dans le Cambridgeshire (Angleterre), la police tient-elle enfin une piste sérieuse? Vendredi, l'inspecteur Andy Hebb a annoncé qu'un couple était entendu «dans deux commissariats séparés» et son domicile de Soham fouillé. 2. Désir de Tapies. Le musée Picasso d'Antibes propose, à travers une soixantaine d'œuvres du plasticien catalan, une passionnante réflexion sur le corps et la chair. 3. Flessel, une pastille de trop. La double championne olympique d'escrime a été contrôlée positive: elle aurait pris un stimulant sans savoir qu'il figurait parmi les produits dopants. L'affaire coïncide avec l'ouverture, à Lisbonne, du championnat du monde. 4. Locations. Abbesses, meublées, confort, digicode, 28m2,824€ et 2 p. 30m2,840€-01.45.27.05.05. 5. Limousin, Auvergne, Rhône-Alpes. Les nuages dominent le matin donnant par endroits quelques gouttes. L'après-midi, malgré de belles percées du soleil, les nuages encore présents peuvent générer des averses localement orageuses. Il fait de 17 à 22 degrés. |
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В3 Прочитайте текст и заполните пропуски A–F частями предложений, обозначенными цифрами 1–7. Одна из частей в списке 1–7 лишняя. Занесите цифры, обозначающие соответствующие части предложений, в таблицу. | Noël est une fête de famille C'est avec le développement du sentiment familial que Noël a pris l'importance A __________. De grande fête collective, Noël est devenu une fête de la famille . Au Canada, à partir de 1875, Noël ne s’avéra plus une fête essentiellement religieuse. Elle devint progressivement une fête communautaire B __________. Sapin décoré, cadeaux et réveillonde Noël firent partie des traditions familiales. Chez les francophones, cependant, ces nouvelles pratiques s'intégrèrent plus tardivement à leur culture. Au Canada, la tradition de décorer un sapin pour Noël fut introduite par un Allemand. En 1781, le général Von Reidesel plantait, à Sorel, le premier sapin de Noël en sol québécois. Cette coutume se répandit au cours de l'époque victorienne, C __________. A partir de 1920, cette pratique commença à se généraliser dans les grands centres urbains. C’est au cours des années 1930 D __________. Du petit sapin de table on passa, vers la fin du XIXe siècle, aux premiers sapins de grande dimension. Cette nouvelle mode serait attribuable à l'arrivée des premiers supports en métal sur le marché. Dans les milieux populaires, on remplaçait ces supports E __________ par deux planchettes de bois croisées et clouées ou on plantait le sapin dans un seau rempli de terre. Loin de disparaître, la tradition du sapin naturel est plus vivante que jamais. Au Canada, la culture du sapin baumier est en pleine expansion. Chaque année, on abat plus d'un million de ces conifères, F __________. |
| 1. | dont plusieurs dizaines de milliers sont exportés aux États-Unis | 2. | que nous lui connaissons aujourd'hui | 3. | qui étaient trop coûteux | 4. | qui donna lieu à de grandes réjouissances familiales | 5. | se limitant toutefois à la classe bourgeoise | 6. | qui fut amené par les premiers immigrants allemands | 7. | que le sapin décoré devint une réalité familière en milieu rural | |
Прочитайте текст и выполните задания 1 – 7, выбирая букву A, B, C или D. Установите соответствие номера задания выбранному вами варианту ответа.
Mon oncle Jules
Dans mon enfance, j'habitais le Havre. Ma famille n'était pas riche. Le père travaillait, rentrait tard et ne gagnait pas beaucoup. J'avais deux soeurs. Il y avait souvent peu d'argent dans la maison. Maman économisait sur tout. Chaque dimanche, nous faisions une longue promenade. Mes soeurs marchaient toujours devant, je me tenais à gauche de ma mère et mon père à droite. Et chaque dimanche, quand nous nous approchions de la mer, mon père regardait les grands navires qui revenaient des pays étrangers et disait:
– Si Jules était là! Quel bonheur!
Mon oncle Jules, le frère de mon père, était depuis longtemps en Amérique. «Il doit revenir riche» disaient souvent mes parents. C'est pourquoi on l'attendait toujours.
Un dimanche, toute notre famille était partie à Jersey, qui n'est pas loin du Havre: on passe la mer et dans deux heures on est en terre étrangère. Ce beau voyage était un rêve de toute la famille. Nous voici sur le navire au milieu de la mer. Tous les passagers se trouvaient sur le pont. Quelques passagers mangeaient des huîtres. Un vieil homme les ouvrait d'un coup de couteau. Mon père s'est approché de l'homme. Il a pris quelques huîtres et a montré à mes soeurs comment il fallait les manger. A ce moment, le vieil homme lève la tête. Mon père le regarde attentivement et devient tout à coup pâle. Il court vers ma mère et lui dit:
– Cet homme qui ouvre les huîtres c'est Jules! – Quel Jules? a demandé ma mère. – Mais mon frère qui doit être en Amérique.
Comment! Cet homme est ton frère, mais qu'est-ce que tu racontes?
– Va donc le voir toi-même! a dit papa.
A ces mots, j'ai tourné la tête et j'ai regardé attentivement l'homme, son vieux visage triste et fatigué, ses mains qui tremblaient. Ma mère a dit à papa:
– Va demander au capitaine qui est cet homme. Nous n'avons pas besoin d'un vieux qui n'a pas d'argent.
Le capitaine se promenait sur le pont du navire. – Qui est cet homme qui vend des huîtres? a demandé papa. – C'est un vieux vagabond français, a répondu le capitaine. Je l'ai trouvé en Amérique. Il a des parents au Havre, mais il a peur de revenir chez eux, il leur doit de l'argent. Il s'appelle Jules Darvanche.
Mon père a couru vers maman: – C'est lui, j'ai eu raison! Que ferons-nous maintenant? – Quel malheur! Ce voleur n'a jamais voulu travailler. Il n'a pas d'argent et il revient chez nous. Mais il faut payer les huîtres, vite! a crié maman.
Mes parents m'ont donné de l'argent pour payer des huîtres. – Voici l'argent que nous vous devons, monsieur, ai-je dit au pauvre. (J'ai voulu dire «Mon cher oncle».) Et je lui ai donné des sous de pourboire. – Merci, mon jeune monsieur, m'a dit doucement le vieil homme.
Je suis rentré près de mes parents et j'ai dit: – Je lui ai donné dix sous de pourboire. Ma mère m'a regardé dans les yeux: – Dix sous à cet homme, à ce voleur! Mais elle s'est arrêtée sous le regard de mon père. Je voulais revoir encore une fois mon oncle, mais il n'était plus là ...
Nous sommes revenus au Havre. Je n'ai jamais revu mon oncle Jules, le pauvre frère de mon père.
D'après Maupassant
1. L’oncle Jules est parti pour l’Amérique pour …
A) voir ce pays étranger.
B) ne pas travailler.
C) devenir riche.
D) ne pas rendre de l’argent à ses parents.
2. De quoi rêvait la famille Darvanche?
A) d’un voyage en Amérique.
B) d’un voyage en bateau à Jersey.
C) d’une longue promenade à travers le Havre.
D) d’une longue promenade au bord de la mer.
3. Quelle phrase correspond au contenu du texte?
A) La famille Darvanche se composait de quatre personnes.
B) Chaque dimanche toute la famille faisait une longue promenade en bateau.
C) Un vieil homme qui vendait des huîtres était l'oncle Jules.
D) L’oncle Jules revenait chez ses parents.
4. La famille Darvanche attendait l'oncle Jules parce qu' ...
A) il était depuis longtemps en Amérique.
B) on l'aimait beaucoup.
C) on voulait partir pour l'Amérique avec Jules.
D) il devait revenir riche.
5. Quel sentiment a éprouvé le père quand il avait reconnu son frère Jules?
A) l'étonnement
B) la joie
C) l'indifférence
D) la fierté
6. La mère n'a pas voulu reconnaître l'oncle Jules parce qu'il ...
A) était vieux.
B) vendait des huîtres.
C) était trop fier.
D) n'avait pas d'argent.
7. Quelle était l'attitude de l'auteur envers l'oncle Jules?
A) II était fier de son oncle. B) II avait peur de son oncle. C) II sympathisait avec son oncle. D) II était reconnaissant à son oncle.