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Анализ французского произведения Henri Calet "Les souvenirs dun chomeur"

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«Анализ французского произведения Henri Calet "Les souvenirs dun chomeur"»

L’auteur de texte: Henri Calet
Le texte: «Les souvenirs d’un chomeur»

Le texte à analyser a pour titre Les souvenirs d’un chomeur.

L’auteur du texte est Henri Calais ou Raymond-Théodore Bartelmesse est né en 3 mars 1909 à Paris. Son père était un anarchiste français et sa mère était flamande. Les deux ont eu un travail occasionnel varié. Kalet a travaillé pour une compagnie d'énergie et a commencé à s'intéresser à la musique, à la peinture et à la littérature. Se déplaçant entre le Brésil et l'Uruguay, il a continué à mener une vie dissolue, y compris accro à la cocaïne. Il a été appelé pendant la seconde guerre mondiale, a été fait prisonnier par les allemands et est devenu prisonnier de guerre. Après la guerre, il est retourné à Paris et a poursuivi sa carrière d'écrivain, à la fois dans le Journalisme et en tant qu'auteur de fiction. Ses œuvres les plus célèbres sont: La Belle Lurette (1935), Le Tout sur le tout (1948) et Les Grandes Largeurs (1951). Il meurt à Vence le 14 juillet 1956.

Le texte est tiré de la roman autobiographique. On peut devenir que l’action se passé dans divers endroits, y compris les rues de Paris, les quartiers résidentiels, les maisons, les quartiers avec beaucoup d'immigrants, ainsi que dans divers pays comme l'Irlande et le Nicaragua.

Le texte est descriptif:

  • Imparfait: étais, résidais, logeais, butait, payait, trouvais, donnions, entendais, avaient, émargeaient, connaissait, faisait, donnait, étais, interprétait, firent, enlever, disloqua, juger, venait, couchait, passait, rendormais;

  • Le present: les souvenirs sont, je résidais, ne réglaient, nous dormions;

  • Plus-que-parfait: la rampe n’avait, il avait, ils n’avaient pas, ils avaient prospéré, j'étais invite, c’était inconfortable, s’était contenté, mes voisins de droite étaient.

Le personnages principaux dans ce texte sont le chômeur et ses voisins. Le personnage principal, un homme sans emploi, résidait dans un quartier populaire de Paris où il logeait dans un petit appartement. Il butait chaque jour sur les difficultés financières, car il ne payait pas son loyer et ne pouvait pas régler ses factures. Ses voisins, qui eux aussi connaissaient des difficultés, donnions parfois un coup de main en lui offrant de la nourriture ou en l'aidant à trouver des petits boulots.

C’est le narrateur qui parle dans le texte.

Le problème essentiel de ce texte est le problème du chômage en France dans les années 1930 et les inégalités sociales.

L’idée maîtresse du texte est décrire la vie des chômeurs et de leurs voisins, en soulignant les difficultés auxquelles ils sont confrontés et la solidarité qui peut survenir dans de telles situations.

Le resume: Le livre explore la vie d'un chômeur alors qu'il lutte pour trouver un emploi et essaie de survivre dans une société marquée par le chômage et la pauvreté. Calet décrit de manière réaliste les conditions de vie des chômeurs de l'époque, ainsi que les réflexions et les sentiments qui accompagnent l'expérience du chômage. «Les souvenirs d'un chômeur" est un témoignage poignant sur la condition humaine face aux difficultés économiques et une exploration profonde de la psychologie d'un homme confronté à l'incertitude de l'avenir.

Quelques idées me paraissent intéressantes, par exemple:

Les moyens lexical employés par l’auteur rendent le texte expressif, par exemple: le lexique de chantier (résider, arrondissement, immeuble, inachevé, maison, chantier, abandonné); les synonymes (reside – loger – habiter – immeuble – maison); les synonymes contextuels (abandonné – inachevé); le lexique de nationalites (français, Irlandaise, Américains, Indienne, Managua, Nicaragua).

Les moyens grammatico employés par l’auteur rendent le texte expressif, par exemple: le present (les souvenirs sont, je résidais, ne réglaient, nous dormions); l’imparfait (étais, résidais, logeais, butait, payait, trouvais, donnions, entendais, avaient, émargeaient, connaissait, faisait, donnait, étais, etc.); plus-que-parfait (la rampe n’avait, il avait, ils n’avaient pas, ils avaient prospéré, j'étais invite, c’était inconfortable, s’était contenté, mes voisins de droite étaient). Les prépositions nominaux: les parages, dans, de l'impasse, contre, du, de la, à, de gauche, de droite, à trois, à la fois, après tout.

Les moyens syntaxiques employés par l’auteur rendent le texte expressif, par exemple: métaphores et comparaisons (“les souvenirs sont comme des lianes”, “c’était inconfortable”, “Ma voisine de gauche, une Irlandaise à qui je trouvais des allures luxurieuses”), ironie et sarcasm (“une chiffonnière enrichie”, “les filles se firent enlever une après l’autre par des artistes de la maison, où ils avaient prospéré quelque temps en fabriquant des berlingots de Paris dont les Nicaraguayens s’étaient toqués, éphémèrement”); scènes descriptives et picturales (“Partout des échelles. On butait contre des sacs, des plâtras, des planches”, “Mes voisins de droite étaient vaguement Américains du Sud”).

Parmi eux on peut citer les épithètes (des lianes, immeuble inachevé, une maison d'artistes, des Sacs, des plâtras, des planches, allures luxurieuses, des Américains pauvres, indienne, une petite soirée artistique, inconfortable).

Le texte me plaît parce qu'il met en lumière un problème aussi important que le chômage et l'émulation, mais produit un effet triste sur moi.