Церковная реформа и религиозные войны во Франции. Les guerres religieuses.

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Les chrétiens se divisent en catholiques et protestant.

Depuis l'invention d'imprimerie par Gutenberg, la Bible était plus souvent lue. En lisant la Bible de nombreux chrétiens trouvaient que la religion de leur temps ne ressemblait plus à celle que le Christ avait prêchée. Ils reprochaient, en outre, au pape et aux prêtres de ne pas bien se conduire et de s'enrichir aux dépens des fidèles. Pour ces raisons ils demandaient des changements dans l'eglise catholique.  Un moine allemand Luther a commencé cette longue lutte entre les catholiques et les protestants par ce qu'il a traduit la Bible en allemand et a publié des écrits où il enseignait une nouvelle religion. En France ses idées étaient reprises et modifiées par Calvin qui prêcherait le protestantisme en France.  Les protestans n'acceptant plus l'autorité du pape, se sont séparés des catholiques. Leurs prêtres sont les pasteurs qui ont le droit de se marier. Leurs temples n'ont ni statuez ni ornement, ils sont très simples et pauvres même côté architecture. On n'y parle que la langue du pays.

François I, roi catholique, estimait que tous les Français devaient avoir la même religion que lui. Après avoir hésité, car il était l’allié des priinces protestants allemands, il a combattu la religion réformée. Des peines diverses ont été infligées aux protestants. Ceux qui renonçaient au protestantisme devaient faire « amende honorable ». Ils se présentaient devant une église, à genoux, tenant un cierge à la main. Les autres étaient soit emprisonnées jusqu’à la fin de leur vie, soit brûlés vivants. Son fils Henri II a été encore plus cruel.

Comme le roi Charles IX était trop jeune pour régner sa mère, Catherine de Medicis, gouvernait à sa place. Elle a pris pour chancelier, c’est-à-dire pour principal ministre, Michel d’Hospital. Il voulait empêcher catholiques et protestants de se faire la guerre. Il disait : « Le couteau vaut peu contre l’idée ». C’est-à-dire ce n’est pas en tuant d’autres personnes qu’on les gagne à ses idées. Malheureusement il n’a pas été longtemps écouté.

C’est la reine Catherine de Medicis elle-même qui a ordonné ce qu’on a appellé le massacre de la Saint-Barthélemy. Commencé à Paris, ce massacre des protestants s’est continué en province. Le roi Charles IX a éprouvé ensuite de terribles remords.

Les catholique avaient formé la Ligue pour défendre et restaurer la Sainte Eglise catholique. Le duc de Guise, son chef, a eu autant et même plus de pouvoir que le roi suivant Henri III.

Les protestants s’étaient groupés dans un « Union Calviniste ». Ils avaient pour chef Henri de Navarre, le futur Henri IV. Il avait les mêmes idées que Michel de l’Hospital, mais elles non plus n’étaient pas réalisées. De plus, aux horreurs de la guerre civile se sont ajoutés celles de la guerre étrangère. Pour remporter la victoire, les catholiques français ont demandé du secours aux Espagnols, les protestants aux Allemands et aux Anglais. Ces soldats étrangers ne connaissaient pas la langue française et ne distinguaient pas les catholiques des protestants. Partout où ils ne passaient, ils pillaient, massacraaient, incendiaient.

Le chef des catholiques a excité contre Henri III le peuple de Paris qui a élevé des barricades. Henri III a été obligé de s’enfuir. Peu après, pour se venger, il a fait assassiner Henri de Guise. Lui, il a été assassiné à son tour par un moine fanatique Jacques Clément. Au moment de mourir, Henri III a reconnu Henri de Navarre pour son héritier. Ce dernier a pris le nom d’Henri IV.

Les catholiques, qui formaient l’immense majorité des Français n’acceptaient as Henri IV pour roi. Pour conquérir son royaume, celui-ci a du poursuivre la guerre. La France qui, après la guerre de Cent Ans, avait connu seulement quelques années de paix et de prospérité, était à nouveau dans une situation terrible. Le roi légitme non réconnu par les catholiques, les soldats étrangers ravageant les terres de la France, les Français s’exterminant les uns les autres, les cultures abandonnées, le commerce et l’industrie anéantis, tel était le tableau de la France à cette époque d’intolérance religieuse.