Il existe en français un grand nombre d'expressions contenant le nombre "quatre".
En voici certaines :
1.Faire les quatre cents coups : вести разгульный образ жизни,
faire beaucoup de bêtises, jusqu'à commettre parfois de petits délits.
2.Dire à quelqu'un ses quatre vérités :рассказать кому-либо всё, что о нём думаешь, с риском его обидеть, dire à quelqu'un ce que l'on pense vraiment de lui, au risque de le vexer.
3.Se mettre en quatre : стараться изо всех сил, носом землю рыть
se donner de la peine, faire beaucoup d'efforts.
4.Être tiré à quatre épingles : быть одетым с голочки,
être élégant, bien habillé.
5.Couper les cheveux en quatre : быть дотошным, придираться по пустякам
s'attacher au moindre détail, ergoter. On dit aussi "chercher la petite bête".
6.Entre quatre yeux (ou entre quatre-z-yeux !) : с глазу на глаз, наедине
face à face, en privé, en tête à tête.
7.Aux quatre vents : во все четыре стороны,везде
partout, de tous les côtés.
8.Freiner des quatre fers : сдерживать всячески
s'opposer à quelque chose par tous les moyens : allusion aux fers des chevaux.
9.Manger comme quatre : "есть за семерых"
Etre glouton, trop manger.
10.Entre quatre murs : в четырёх стенах, взаперти
dans un espace trop restreint.
11.Quatre à quatre : через несколько ступенек
à toute vitesse en montant ou descendant un escalier.
12.Se saigner aux quatre veines : выбиваться из сил, жертвовать всем,
se priver de tout, se sacrifier pour quelqu'un.
13.A la six-quatre-deux : быстро, с небрежностью
rapidement, avec négligence.
14.Ne pas y aller par quatre chemins : действовать напрямик, не ходить вокруг да около, aller droit au but.
15.Se tenir à quatre : с трудом сдерживаться, se maîtriser, faire effort sur soi-même pour ne pas montrer son impatience, sa colère.
16.Faire le diable à quatre : производить адский шум.
faire du bruit, être turbulent, causer du désordre.
17.Finir entre quatre planches :умереть,
mourir ! Allusion aux planches du cercueil.
18. Tirer à quatre chevaux= четвертовать.
“J'aime mieux être tiré à quatre épingles qu'à quatre chevaux.”
― Jean Louis Auguste Commerson